




Cette école de 708 élèves se trouve au centre-ville d’Ambositra (région Amoron’i mania), dans le quartier le plus défavorisé. Tous les bâtiments actuels datent de la période coloniale (avant 1960). Ils furent utilisés par l’armée et servirent ensuite de maison pénitentiaire. Seules 2 des 11 salles de classe actuelles sont aux normes.
Bien que notre expérience nous ait amené à construire une majorité d’écoles en brousse, la situation très tendue de cet établissement nous a convaincu de proposer à la Fondation malgache AXIAN de financer 75% la construction d’un bâtiment de 3 salles de classe situé dans un centre-ville qui nous a suivi.
L’état actuel de l’établissement empêche l’accès à l’école à des centaines d’enfants des quartiers les plus pauvres de la ville.
Pour rappel on estime (au niveau national) entre 40 et 50% d’une classe d’âge le pourcentage d’enfants en âge d’être scolarisés au primaire et qui ne peuvent y accéder, faute de place, faute de moyens pour payer la participation aux frais (même dans l’enseignement public) et faute d’enseignants titulaires formés.





Cette école de 708 élèves se trouve au centre-ville d’Ambositra (région Amoron’i mania), dans le quartier le plus défavorisé. Tous les bâtiments actuels datent de la période coloniale (avant 1960). Ils furent utilisés par l’armée et servirent ensuite de maison pénitentiaire. Seules 2 des 11 salles de classe actuelles sont aux normes.
Bien que notre expérience nous ait amené à construire une majorité d’écoles en brousse, la situation très tendue de cet établissement nous a convaincu de proposer à la Fondation malgache AXIAN de financer 75% la construction d’un bâtiment de 3 salles de classe situé dans un centre-ville qui nous a suivi.
L’état actuel de l’établissement empêche l’accès à l’école à des centaines d’enfants des quartiers les plus pauvres de la ville.
Pour rappel on estime (au niveau national) entre 40 et 50% d’une classe d’âge le pourcentage d’enfants en âge d’être scolarisés au primaire et qui ne peuvent y accéder, faute de place, faute de moyens pour payer la participation aux frais (même dans l’enseignement public) et faute d’enseignants titulaires formés.
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Chez M. Genel
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58 rue André Marie Ampère
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